Pierre Vancoppernolle nous annonce le décès ce 6 mars 2018 de sa belle-mère, Madame Jorion, née Marie José Leroy le 5 juin 1920.
Pierre Vancoppernolle nous annonce le décès ce 6 mars 2018 de sa belle-mère, Madame Jorion, née Marie José Leroy le 5 juin 1920.
PETIT RAPPEL AVANT
L'INAUGURATION
2015-09-14-OBIGIES – APRES QUELQUE 140 ANS DE « BONS ET LOYAUX SERVICES », L’ECOLE DISPARAÎT
Dernière vue de la façade de l'école qui rappelera tant de souvenirs
Et voici l'intérieur de la cour qui contenait en son temps l'école, la maison de l'instiruteur et la salle communale
C’est donc aujourd’hui que commence la démolition de l’ancienne école qui a connu des heures de gloire mais qui, à l’heure d’aujourd’hui mérite amplement le nom de vétuste.
Avant de commencer la disparition complète de l’ensemble, les spécialistes procéderont au désamiantage des éléments qui, lors de la construction étaient inconnus des problèmes existentiels qui ont fait surface et qui, comme chacun sait sont soumis à une règlementation stricte qui doit faire l'objet de précautions particulières en raison du risque sanitaire associé.
En procédant à cette tache ardue, tout matériau qui pourrait devenir dangereux lors de la démolition sera lui aussi enlevé. Pensons au balatum par exemple.
Nous avons, en compagnie du directeur de l’école, Samuel Denis, pu pénétrer à l’intérieur et lorsque l’on parle de vétusté, ce n’est vraiment qu’un doux euphémisme.
Voyez vous-même
Les photos qui accompagnent ce texte le prouvent à satiété. Certains locaux laissent entrer la pluie, les cheminées n’existent plus qu’à titre souvenir, des murs qui ont perdu leur couleur rongés par l’humidité. Il était plus que temps d’abattre complètement le bâtiment, ce qui sera fait dans les jours qui suivent. Le matériel de destruction est déjà en partie à pied d’œuvre au moment où nous écrivons ces lignes (8h du matin ce lundi).
Il devrait être remplacé par une école toute neuve dont les travaux pourraient commencer (dixit la direction) en octobre. Si cela est, cela ne devrait pas traîner. Cela permettrait après la finition et l’ameublement d'enlever les classes conteneurs qui avaient dû être aménagées pour accueillir les classes, les autres étant devenues littéralement insalubres et parfois dangereuses.
Les plans que nous avons consultés devront certainement convenir à ce modèle de construction, pour le bien de tous, tant professeurs qu’élèves, lesquels sont au nombre de 185.
Petit retour en arrière : c’est le 19 mai 1874, que M. le baron Edouard de Ville, bourgmestre, des échevins et conseillers, que fut décidée l’ouverture des soumissions pour la création des écoles communales et de la Maison communale avec habitations pour l’instituteur et l’institutrice. C’est M. Philippe Defontaine entrepreneur à Esplechin qui emporta le marché et ce, pour la somme de 42.500 francs.
Jadis un mur de séparation divisait garçons et filles, mur qui, par la suite (mixité oblige) fut abattu.
Cette partie restera bien entendu. A gauche de la cloche s'élevait perpendiculairement le mur de séparation. La Vierge a été replacée et a retrouvé sa place d'antan.
Par contre tout ce qui suit va disparaître.
Inutile de dire que la future nouvelle implantation réjouit l’ensemble pédagogique. Nous supposons qu’une inauguration scellera l’entrée définitive des enfants dans un bâtiment digne d’eux. Nous vous tiendrons au courant en temps utile !
2015-11-22-OBIGIES - LE BÂTIMENT QUI AVAIT ETE CONSTRUIT POUR LA MAISON DES RELIGIEUSES, CELLE DE L'INSTITUTEUR ET LA MAISON COMMUNALE AURA TENU 140 ans.
Pendant tout un temps, la fusion des communes libérant la salle communale, celle-ci servit de classes, lesquelles occupèrent aussi la plus grande partie de la maison de l'instituteur. Le bureau de M.Gabriel Mat fut affecté au contrôle des chômeurs et le côté des religieuses qui s'en étaient allées fut loué à la famille Berte.
Petit à petit, le manque d'entretien de l'ensemble produisit son oeuvre destructrice dont vous avez pu mesurer l'étendue sur les photos que nous avons fait paraître en temps utile dans ce blog. Cela constituait un danger réel pour les enfants. Aussi, la Commune décida-t-elle de l'abattre. C'est fait aujourd'hui et bientôt de nouvelles classes verront le jour.
Olivier Devos, bien connu dans l'entité, a réalisé une magnifique photo-souvenir avant la démolition
Et maintenant, après la démolition, l'emplacement libéré de ses gravats
Le travail de reconstruction est bien parti
2015-11-11-HERINNES - UNE INITIATIVE PEDAGOGIQUE I NTERESSANTE
Il s'agit d'un pigeonnier didactique offert par la Royale fédération colombophile Belge.
Celui-ci a été inauguré, ce mercredi 11 novembre, en présence de nombreuses personnes venues soutenir ce projet (colombophiles de la région, représentant de la Fédération, autorités communales et du CPAS, etc.).
Ce projet a vu le jour à l'initiative de M. Christian Goulem (vice-président de la fédération) et finalisé par David Delbroeck (Directeur de la maison de repos) avec le soutien de l'Administration communale et le CPAS de Pecq.
A noter que le comité des Fêtes du Home Général le Maire apportera son aide pour le nourrissage et les frais liés à cette initiative pour le moins originale.
A épingler également que des collaborations sont envisagées avec les écoles de l'entité et ce, sur base des échanges qui existent déjà entre celles-ci et le Home.
Aurélien Pierre, échevin, communique:
2015-10-13-PECQ - EUROMETROPOLE A FAIT DES HEUREUX A L'ECOLE COMMUNALE
Ce mardi, Louis Cousart, président du Circuit franco-belge et Jean-Jacques Meunier sont venus remettre aux élèves de la section fondamentale de Pecq une horloge, cadeau de l'Eurométropole Tour. Rappelons qu'un concours avait été organisé par la course à étapes la plus ancienne de Belgique entre les écoles sises sur le parcours de la course. Trois lauréats ont emporté la palme : l'école primaire de Menin, Les Lionceaux de Ligne et l'école communale de Pecq.
La directrice de Pecq, Aurélie Vangheluwe, nous explique ce que l'école avait réalisé sur le passage des coureurs : « Nous avions préparé des drapeaux, des grandes mains pour encourager les coureurs, ce que les enfants n'ont pas manqué de faire bruyamment. Nous avons reçu une casquette par enfant, un sac, des bonbons, des bics, une horloge murale et le « maillot des Monts » pour l'école. Nous avons vraiment été gâtés ».
Toutes les écoles avaient été invitées, tous réseaux confondus. Certaines n'ont pas répondu, souvent parce qu'elles étaient trop éloignées du passage de la course.
Le jury a récompensé les écoles qui ont manifesté leur enthousiasme lors du passage de la caravane et des coureurs.
Le cirque Georget s’installe à Pecq pour deux semaines.
Le cirque Georget, cirque pédagogique ambulant, sillonne chaque automne les écoles de Wallonie picarde. Il s’est arrêté à Pecq pour deux semaines. 240 élèves de maternelle et primaire y découvrent les arts circassiens.
Drôle d’ambiance à l’école SaintMartin de Pecq. Les cahiers et cartables sont remplacés par des cerceaux et balles de jonglerie. Les exercices de math se transforment en sauts à trampoline et le plus incroyable : un chapiteau de cirque est dressé dans la cour de récréation ! Mais que se passe-til? C’est le cirque Georget qui a dé- barqué dans l’école pour deux semaines : «Nous venons de Touraine en France. Nous sommes artistes de cirque et animateurs pédagogiques», explique Hervé. «Notre équipe de dix moniteurs fait découvrir le cirque aux enfants. Ils ne sont plus simples spectateurs, ils apprennent l’équilibre, le trapèze, le hula-hoop, les techniques de jonglerie, etc. Nous créons un spectacle avec eux que les parents découvriront en fin de semaine». C’est la première fois que le cirque Georget s’arrête dans les écoles libres de Pecq. «Je connais le cirque depuis longtemps et je voulais vraiment l’amener chez nous. On a saisi l’opportunité pour cette année», explique Simon Stéphane, le directeur. Ses deux implantations sont concernées: cette semaine les maternelles de l’école Saint-Martin et tous les élèves de l’école Sainte-Aldegonde d’Hérinnes participent à cette expérience de cirque. La semaine prochaine, ce sera au tour des primaires de Saint-Martin. Amener le cirque Georget au sein de son école a un certain coût : les établissements scolaires pecquois ont pu compter sur le soutien de l’association de parents et du comités des fêtes dans leur projet.«Et puis cette «classe de cirque» remplace nos traditionnelles classes vertes, de ville ou sportives. Les enfants sont enchantés et les parents sont aussi très positifs», ajoute le directeur. Les institutrices, attentives aux progrès de leurs élèves, se réjouissent également : « C’est une semaine surprenante. Les enfants se retrouvent dans un cadre féerique et magique. C’est une école de vie, certains pensent ne pas être capables et puis avec l’entraînement ils y arrivent. C’est chouette parce que nos élèves qui sont moins «scolaires» se mettent en évidence à leur tour», témoignent-elles. Vendredi et samedi soir, les parents pourront apprécier les talents de leurs petits clowns, équilibristes ou même tout nouveaux jongleurs.
Article de Bérénice Vanneste (Nord Eclair)